L'intégration scolaire, une fausse bonne idée - fbi
L'enseignement ne sera jamais un métier facile
mais avec
l'intégration asymétrique (asymétrique parce que : pas d'intégration dans les classes du programme international)
et l'enfant-roi
c'est rendu intenable d'autant plus que l'on donne aux débutants
les groupes qui demandent le plus d'expérience.
À lire : Le grand mensonge de l'éducation
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De « l’enfant roi » au « parent roi » le pas est franchi
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Plus de 59 % des Québécois et 62 % des parents d'élèves de l'école publique
affirment être en désaccord avec le fait d'intégrer
tous les élèves en difficulté dans la classe régulière.
Même les parents d'élèves qui ont des difficultés sont de cet avis à 64 %.
La proportion favorable monte à 89 %, tant pour l'ensemble de la population que pour les parents,
pour la création de classes spéciales à ratio réduit pour les élèves ayant des difficultés sévères.