Jean-Jacques Stréliski 10 décembre 2012
Le Devoir - Actualités en société
Et si les Incas avaient vu juste ? Le 21 décembre, pouf ! La balloune éclate. Plus personne le 22 pour ramasser cette microscopique ordure terrienne, sinon la Voie lactée qui engloutit le tout, tel un aspirateur à astres défunts, en une fraction d'année-lumière. Le soleil de son côté n'a rien vu. De toute façon, il n'a jamais rien su de ce calendrier qu'on appelait solaire ou encore des Incas, ni de ceux qui les ont massacrés, ou encore de tous les autres qui, chaque jour, se sont depuis chauffés à ses doux rayons ! Son agenda est rempli de rendez-vous autrement plus importants que les funérailles d'une planète droguée, souillée et condamnée qui, tôt ou tard, aurait fini par périr de son cancer humain.