Gerry Sklavounos : «Non à la violence, à l’intimidation et aux méfaits»

Montréal le 15 août 2012 – Le député sortant et candidat libéral de Laurier-Dorion, M. Gerry Sklavounos a aujourd’hui invité le candidat de Québec solidaire, Andrès Fontecilla, à dénoncer clairement la violence, l’intimidation et les méfaits commis par certaines personnes au nom du carré rouge et d’un prétendu «printemps érable». «M. Fontecilla, qui prétend vouloir siéger à l’Assemblée nationale, n’a d’autre choix que de se prononcer clairement et dénoncer ceux et celles qui commettent des infractions contre la population du Québec au nom de leur idéologie» a déclaré M. Sklavounos.

M. Sklavounos s’est également dit déçu par ceux et celles qui se sont pris à ses pancartes électorales violant ainsi le droit des autres citoyens à être correctement informés en vue de l’élection du 4 septembre. «Malheureusement pour eux, ce type d’acte ne sert qu’à motiver mes supporters qui se sont sentis profondément heurtés par ce manque de respect de ceux qui ne partagent pas leur opinion» a précisé le député sortant. M. Sklavounos a également tenu à exprimer sa profonde stupéfaction envers ceux qui empruntent le langage révolutionnaire du printemps arabe dans le contexte démocratique québécois : «Je suis profondément attristé qu’on essaie de faire du pouce sur les véritables drames humains vécus par ceux qui se sont soulevés contre de régimes totalitaires ailleurs dans le monde. La tentative de faire un lien avec le Québec constitue un grave manque de respect. C’est le pire exemple d’opportunisme que j’ai vu depuis que je fais de la politique active.» Finalement, le député sortant rappelle que le chef de Québec solidaire, Amir Khadir, en conférence de presse, a appelé les citoyens du Québec à défier les lois démocratiquement votées par le Parlement s’ils n’étaient pas d’accord. «Cette interprétation de la démocratie ressemble bien plus à l’anarchie. M. Fontecilla aura à se dissocier clairement de ses propos irresponsables avant de pouvoir penser à prêter serment à l’Assemblée nationale» a conclu Gerry Slavounos.