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La question nationale

Le syndrome du Monténégro

(Attention je tiens ici des propos qui s'écartent de la rectitude politique)

Je trouve des vertus à la majorité qualifiée, c'est à dire plus que 50%.

Il y aurait plus de gens en faveur du oui car ça transforme une menace en une opportunité.

Bien des gens se dirons, moi je vote "pour" car si ça passe on sera une majorité confortable à vouloir faire ce pays.

 

Le syndrome Michel Tremblay

Bien sûr, nous sommes à l'époque du tout économique et c'est malheureux comme le déplore Michel Tremblay; cependant lorsqu'au début, l'indépendence était une affaire de chansonniers et de poètes il manquait justement l'aspect monétaire. Maintenant qu'on s'est donné quelques leviers économiques on peut commencer à parler mais je veux parler à des gens qui comprennent qu'il va falloir se relever les manches et non à ceux trop nombreux qui croit que l'argent va nous tomber du ciel et qui ne parlent de ce qu'on va enfin récupérer...pas si simple je pense.

 

To "OUI" or not to "OUI"
Caricature de Pascal dans le Magazine de l'Île-des-Soeurs du 13 avril 2006