Allah Val
Un nouveau faubourg à Laval
Le cheikh Hussein Mohamed Amer, imam de la mosquée Aljisr de Laval au Québec, justifie la violence [«pas sévère»] du mari envers son épouse, en dernier recours et dans un but éducatif, quand le mari n’est pas parvenu à la convaincre de retourner sur le droit chemin de l’islam.
«Le prophète Mahomet, la paix soit sur lui, a dit: si les épouses le font, alors les maris doivent les battre, mais pas sévèrement [Muslim 1218]. D’aucuns soutiennent, en lisant ce texte, que la loi islamique permet au mari de battre sa femme, tandis que d’autres affirment que l’islam opprime la femme en permettant au mari de la battre.
Mes frères et mes bien-aimés, l’islam enseigne que battre sa femme est une forme d’éducation, et un dernier recours [littéralement, le «dernier médicament», c’est-à-dire un médicament administré après que tous les autres ont échoué à guérir la maladie, comme dit le hadith :] le dernier médicament brûle [la peau avec du feu].
L'Occident interdit la violence à des fins d’éducation et c’est la position que nous adoptons ici. La vérité est cependant toute autre. Battre sa femme est une forme d’éducation … le mari peut battre sa femme lorsqu’il a épuisé toutes les solutions possiblement efficaces et qu’il n’y a pas d’autre traitement.
Le coran fait référence au droit du mari de battre sa femme dans le cadre d’une série de traitements: «Et quant à celles dont vous craignez la désobéissance, exhortez-les, [puis si elles persistent] éloignez-vous d'elles dans leur lit, et [en dernier recours] frappez-les. Si elles arrivent à vous obéir, alors ne cherchez plus de voie contre elles [Sourate An-Nisa, 34]
Si vous avez raison, la femme doit être admonestée, son mari doit lui rappeler ses droits sur elle et elle devrait retourner vers son Seigneur Tout-Puissant. Si les réprimandes et les conseils échouent, le mari doit abandonner le lit conjugal, prendre ses distances avec elle, la snober, éviter de la toucher au point où il ne rêvera plus d’elle, et si ce châtiment échoue, le mari est autorisé à la battre comme a dit le prophète : ne pas la battre sévèrement.»
Wife "beating in Islam is a type of education", says Quebec Imam
Canadian Sheik Houssein Muhammad Amer (حسين محمد عامر ), the Imam of Centre Aljisr (مركز الجسر الإسلامي ) in Laval, Quebec, justifies wife beating [“not severely”] as a last resort and as an act of education in case the husband fails to convince his wife to return to right path of Islam.
“The Prophet [Muhammad], peace be upon him, says: if they [wives] do so, then, [the husbands should] beat them but not severely [Muslim 1218]. Some people argue, when they hear this text, that the Islamic Law permitted wife beating, and other people say, when hearing it, that Islam oppresses the wife by allowing the husband to beat her.”
“My brothers and my loved ones, the beating in Islam is a type of education, and it is said that it is the last resort [literally “the last medicine”, meaning a medicine that is administered after all others failed to cure the illness as it is said in the hadith:] the last medicine is burning [the skin with fire].”
“The West prohibits the beating for the purpose of education and this is the position that was taken there. However, the truth is otherwise. The beating is a type of education... the beating is used after exhausting all effective and successful [possible] solutions and [it turned out that] there is no treatment without it.”
“The Koran referred to the beating in the context of a series of treatment saying: But those [wives] from whom you fear arrogance - [first] advise them; [then if they persist], forsake them in bed; and [finally], strike them. But if they obey you [once more], seek no means against them [Surat An-Nisā', 34].”
“This is the case regarding the wife if you are right, and she should be admonished, her husband should remind her his rights over her and she should return to [follow] her Lord Almighty. In case that the admonition and the advice fail in dealing with her, he [the husband] has to abandon the bed, meaning to distance himself from her, to snub her, to avoid touching her to the point that he will not dream on her, and if the estrangement fails the beating [of the wife] is permitted, as the Prophet said: not severe beating.”
Comment discipliner une femme