L'accord de Doha réaffirme l'ambition d'adopter
«un protocole, un autre instrument juridique ou un accord ayant force juridique»
à la conférence de l'ONU prévue en 2015 pour une entrée en vigueur en 2020,
et rappelle l'objectif de parvenir à limiter la hausse de la température à +2°C.
Contrairement au protocole de Kyoto, cet accord ne concernera pas que les nations industrialisées,
mais tous les pays,
y compris les grands émergents et les États-Unis.
Un texte devant servir de base pour les négociations doit être disponible «avant mai 2015»
et l'accord de Doha «accueille favorablement» la proposition du secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon
de réunir les «dirigeants mondiaux» en 2014 sur cette question.